Zizanie, vol. 2-1 (2018): "Mondialisme et littérature" (S. Harel, M.-C. Lambert-Perreault dir.)
Simon Harel et Marie-Christine Lambert-Perreault (dir.).
Zizanie, dossier «Mondialisme et littérature», vol. 2, no 1 (automne 2018), 2019. EAN13 : ISSN25614622.
En ligne: https://www.zizanie.ca/mondialisme-et-litterature-vol-2-no-1.html.
Sous la direction de Simon Harel (Université de Montréal) et Marie-Christine Lambert-Perreault (Université du Québec à Montréal), le numéro «Mondialisme et littérature» est paru en décembre 2018 dans la revue Zizanie, avec le soutien financier du CÉLAT. Le dossier cherche à circonscrire les impacts de la mondialisation et des nouveaux médias sur le texte littéraire; il invite à réfléchir à l’approche comparatiste en littérature, aux écueils qu’elle comporte et à ses avenues possibles, dans un contexte où la planétarité s’impose comme une clé de lecture du contemporain.
Sommaire:
«Pour une littérature comparée différentielle et située. La traduction, outil pour construire les comparables»
Myriam Suchet (Université Sorbonne Nouvelle Paris 3, Centre d’études québécoises)
«Ce qu’il reste de l’esprit littéraire»
Terry Cochran (Université de Montréal)
«L’intrusion des médias dans la littérature antillaise francophone: une anthropologie du quotidien réinventée à l’ère de la mondialisation»
Nella Arambasin (Université Bourgogne-Franche-Comté)
«Visions cyniques de la mondialisation chez Beigbeder»
Louise Kari-Méreau (Trinity College Dublin)
«Les études littéraires à l’ère de la mondialisation: traces et trajets au prisme des nouveaux observables numériques»
Carolina Ferrer (Université du Québec à Montréal)
«Artaud/Rimbaud: guerres planétaires et étincelle astrale»
Simon Harel (Université de Montréal)
En exposition: «Les empires en tension de Boris Chukhovich»
Dans le sillage de la parution de La chute de l’empire américain (2018) de Denys Arcand, Boris Chukhovich revient sur l’exposition Grandeur de l’Empire (Université de Montréal, 2013; Musée d’histoire de Saint-Pétersbourg, 2014), dont la visée était d’explorer les symboles qui caractérisent le «pouvoir contemporain» et «les empires d’autrefois». De l’exposition sont reproduits en version numérique certains collages juxtaposant le World Trade Center et des monuments architecturaux comme le Taj Mahal ou l’Arc de triomphe.